L'article "Vision : Viol de la Terre" soulève des questions profondes sur notre relation avec l'environnement que nous habitons. Cette réflexion m'a rappelé les travaux récents sur l'écoféminisme, un mouvement qui établit des parallèles saisissants entre l'exploitation de la nature et l'oppression des femmes. Françoise d'Eaubonne, qui a inventé ce terme dans les années 1970, nous invite à repenser fondamentalement notre rapport au monde vivant.
Le paradigme de domination et ses manifestations
La métaphore du "viol de la terre" n'est pas anodine. Elle incarne une critique profonde des systèmes de pensée qui ont historiquement légitimé l'exploitation sans limite des ressources naturelles. Ce qui est fascinant, c'est de constater comment ce paradigme de domination se manifeste jusque dans notre langage quotidien…
L'article "Vision : Viol de la Terre" soulève des questions profondes sur notre relation avec l'environnement que nous habitons. Cette réflexion m'a rappelé les travaux récents sur l'écoféminisme, un mouvement qui établit des parallèles saisissants entre l'exploitation de la nature et l'oppression des femmes. Françoise d'Eaubonne, qui a inventé ce terme dans les années 1970, nous invite à repenser fondamentalement notre rapport au monde vivant.
Le paradigme de domination et ses manifestations
La métaphore du "viol de la terre" n'est pas anodine. Elle incarne une critique profonde des systèmes de pensée qui ont historiquement légitimé l'exploitation sans limite des ressources naturelles. Ce qui est fascinant, c'est de constater comment ce paradigme de domination se manifeste jusque dans notre langage quotidien…